Coffret cinéma japonais




Top 3 de nos meilleurs coffrets cinéma japonais


Vous êtes un passionné de la culture asiatique et principalement des films japonais ? Très bien. Vous tombez sur la bonne page. Nous avons concocté pour vous nos 3 meilleures collections de coffret de cinéma japonais pour occuper votre temps et vous faire plaisir. Vous pouvez les regarder seul, entre amis ou avec votre famille et même en faire de très beaux articles de cadeaux pour certaines occasions.

Blu ray coffret collector

Le coffret cinéma japonais indépendant contemporain

Vendu à seulement 25 €, ce premier coffret cinéma japonais comprend 2 films japonais dont l’un écrit par Junta Yamagushi et l’autre par Kenishi Ugana. Les 2 films, Beyond The Infinite Two Minutes et Extraneous Matter, sortis décembre dernier, sont tous les deux en langue japonaise, mais sous-titrés chacun en français. D’une durée respectivement d’une heure et dix minutes et d’une heure et une minute, elle vous émerge dans une ambiance fantastique des célèbres acteurs japonais en regardant ces films fantastiques.  

« Beyond The Infinite Two Minutes », ce premier film raconte l’histoire de Kato qui, devant son ordinateur allumé, communique avec son double, mais qui, après 2 minutes, se voit projeté dans un autre monde de celui où il vit, dans le futur. Pour pouvoir comprendre ce qui se passe, il avance vers son ordinateur et il se voit désormais lui-même. Mais encore 2 minutes plus tard, il se voit aussi dans le passé.

Côté qualité, ce film a été tourné numériquement et une autre partie sur téléphone pour ensuite donner un rendu assez bruité. Le making semble être plutôt réussi. Pour ce qui est de l’étalonnage, cela souligne des intérieurs plutôt orangés et des extérieurs nuit tirant vers le vert.

« Extraneous Matter », quant à lui, raconte l’histoire de plusieurs personnes, qui, dans des lieux différents, se voient confrontées avec la même créature visqueuse. Cette dernière, malgré son état repoussant, semble très bien leur donner du plaisir et leur devenir un bon ami. Côté qualité, ce 2e film paraît bien plus classique dans son rendu assez naturel, avec son image noir et blanc « glossy », mais confortablement HD.

Ces 2 films japonais indépendants contemporains présentent des pistes son 5.1 qui sont principalement centrées sur leurs dialogues. Certes, ces pistes sont assez frontales, mais avec une activité arrière légère et très appréciable.

Le coffret Ujicha


Ce 2e coffret cinéma japonais, vendu également à 25 €, comprend aussi 2 films japonais écrits par le célèbre réalisateur Ujicha : « Burning Buddha Man » et « Violence Voyager ». Sortis en 2013 et en 2018, ces 2 films d’animation sont tous deux diffusés en langue originale, en japonais, et toujours accompagnés de sous-titres pour vous aider à comprendre toute l’histoire.

Le premier film, « Burning Buddha Man », d’une durée de 83 minutes, concerne l’histoire de la jeune Benito qui, après le vol de plusieurs statues de Bouddha à Kyoto, découvre que ses parents ont été assassinés. La jeune femme se jette alors dans des aventures cauchemardesques et rocambolesques à travers lequel Ujicha utilise des papiers découpés pour démontrer des débordements des plus grotesques et monstrueux, des plus déroutants et jubilatoires.

Le second film, « Violence Voyager », pour sa part, raconte l’histoire du jeune Bobby et son ami Akkun qui, dans un petit village perdu dans les hautes montagnes du Japon, tombent par hasard, durant leur randonnée à pied, sur Violence Voyager. Il s’agit d’un parc d’attractions abandonné qui renferme de sombres secrets. Pour plus de sensations, les 2 amis tentent d’entrer dans le parc et ils vont être incroyablement servis. Ce qui est merveilleux dans ce film, c’est que l’horreur prend une dimension tout à fait particulière, incarnée dans un monde enfantin rimbé d’un rayonnement nostalgique. Attendez-vous à voir un film d’une durée de 164 minutes que vous n’avez jamais connu.

Ce qui est très intéressant avec ces 2 films d’animation japonaise, c’est que la qualité de l’image est agréablement étudiée. La précision est fortement satisfaisante dans son découpage et sa délinéation. Et le confort est indéniable et indiscutable, en plus du travail des couleurs qui est aussi très impressionnant. Vous n’avez aucune crainte à avoir, ni de souci d’instabilité ni de souci visible de contraste ou de luminosité.

Le coffret Masayuki Suo


Le 3e coffret cinéma japonais, coûtant 30 €, regroupe 2 films japonais sortis il y a bien longtemps, mais qui continue de faire effet sur nos écrans. Il s’agit des films « Sumo Do, Sumo Don’t » et de « Shall we dance », tous deux écrits par le réalisateur Masayuki Suo. Sortis en 1992 et en 1996 et d’une durée respective de 2h26mn et de 1h45mn, ils sont aussi diffusés originalement en langue japonaise avec des sous-titres en français.

« Sumo Do, Sumo Don’t » est un film japonais qui met en valeur le Sumo qui est un sport très tendance et très évolué au Japon, à travers des scènes de comédie. Le film raconte l’histoire de Shuhei Yamamoto qui est un garçon de bonne famille étudiant un rien glandeur. Il aimerait bien faire valider son année, mais sa professeure, Ayanama, constatant qu’elle ne l’a jamais vu est en train de refuser sa demande. Pour la convaincre de changer d’avis, Shuhei lui propose alors un marché intéressant : s’inscrire et tenter de relancer Sumo qui fut longtemps abandonné pour participer au prochain tournoi universitaire.

« Shall we dance », quant à lui, est une comédie romantique japonaise d’une durée de 136 minutes racontant l’histoire d’un homme d’affaires du nom de Syohei. Si depuis toujours celui-ci mène une vie banale, son point de vue va enfin changer après avoir aperçu sur la fenêtre d’une salle de danse une jeune femme magnifique au regard fascinant. Pour la connaître un peu plus et la côtoyer, il décide alors de s’inscrire à l’Académie de dance où cette femme est professeure. Ce film attire plusieurs spectateurs dans le monde, ce qui a inspiré le célèbre réalisateur Peter Chelsom qui a sorti une version américaine de ce film, mais dont les scènes ont été réduites pour en fin de compte raccourcir le film en seulement 118 minutes.